« Faut-il attendre des sciences sociales en général, de l’anthropologie en particulier, qu’elles nous éclairent sur les dysfonctionnements de nos sociétés sur les moyens d’y remédier ? Pour Philippe Descola, c’est plutôt en nous engageant à observer le pluralisme des modes d’être qu’elles peuvent contribuer à la transformation du temps présent. »